le 20 octobre 2011 Ecole des Beaux-arts de Toulouse |
Les séquences "Ouvrir l'Objet" reproduisent les écrans à partir desquels les séances du cours de photographie se font. Le propos de chaque séance est de développer (sens photographique) le contenu des écrans. Ce sont des montages de photographies hors-format. Ce sont des montages dialectiques parfois éclectiques à l'intérieur desquels des images entretiennent les unes avec les autres des séries de liens faibles. Le contenu d'un écran n'est pas la somme des pistes offertes par les images mais à l'intérieur du cheminement proposé par ces photographies (que réactivent les liens ci-dessous) la possibilité de détours, de hors-sujet, d'association d'idées, de déclics, d'emportements, d'égarements, bref la possibilité de laisser la place à ce qui arrive au fil d'un temps de parole collectif partagé et qui constitue la saveur particulière de ce que nous appelons : le cours. Peut-on atteindre (selon le mot de Roland Barthes) un montage idiorrythmique ?
Anthony Hernandez, Landscapes for Homeless, ou ici
Brassaï, Les sculptures involontaires, 1933
Walker Evans, Beauty of the Common Tool, 1955
François Aubert, La chemise de l'Empereur Maximilien, 1867
Patrick Tosani, série des cuillères, 1988
Jan Svoboda, Traité sur l'espace, 1971
Edward Weston, Pepper, 1930
Anthony Hernandez, Landscapes for Homeless, ou ici
Brassaï, Les sculptures involontaires, 1933
Walker Evans, Beauty of the Common Tool, 1955
François Aubert, La chemise de l'Empereur Maximilien, 1867
Patrick Tosani, série des cuillères, 1988
Jan Svoboda, Traité sur l'espace, 1971
Edward Weston, Pepper, 1930
Est ce que l'image de livre ouvert dans "Expérience, réflexion" juste à l'amont dans le blog, était une amorce délibérée de "Ouvrir l'objet" ?
RépondreSupprimeret bien non !
RépondreSupprimerUne amorce non-délibérée.
Un montage-lecteur.
La continuité-persistante.